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Sin'Art collabore depuis quelques années avec Hors-Circuits, une boutique spécialisée dans "l'underground", située au coeur de Paris dans le 11ème arrondissement. Alors que la plupart des boutiques parisiennes refusent désormais les fanzines en prétextant que cela ne se vend pas, Hors-Circuits a toujours soutenu nos projets. Ce soutien en fait l'un de nos partenaires privilégiés. En livrant la parole à Hors-Circuits, nous avons voulu vous présenter une boutique exemplaire dans sa volonté de défendre la différence. |
Qu'est-ce que Hors-Circuits ?
Hors-Circuits est un magasin qui dès le départ a développé une activité de vidéoclub et de librairie. Les livres présentés tournent autour du cinéma et de ce qui lui est lié. La partie vidéoclub est centrée sur tout ce qu’on ne trouve pas ou difficilement dans les autres vidéoclubs. Un vidéoclub « classique » va commander 10 exemplaires du nouveau blockbuster américain au lieu de prendre un exemplaire de dix films différents. Il ne va s’intéresser qu’aux films « nouveaux » et à gros budget, pas aux productions indépendantes ou aux classiques. Pour notre part, nous voulons montrer qu’il existe aussi un cinéma dans chaque pays, qu’un film d’hier est toujours d’actualité, que le cinéma peut aussi être documentaire, que l’animation ne se résume pas à Walt Disney, etc. Côté vente DVD (c’est aujourd’hui notre principale activité) nous nous concentrons sur ce que l’on ne trouve pas à la FNAC - un énorme pendant de la création cinématographique- et les imports. Bref, attirer l’attention sur tout ce qui est HORS du circuit commercial. Nous refusons aussi l’élitisme, que ce soit envers le public ou les films : le cinéma d’auteur est accessible à tous, de même que les « sous-genres » (bis, Z, X…) recèlent de perles. Nous ne hiérarchisons pas : à chaque personne ses attentes et son esthétique.
Aujourd’hui, Hors-circuits est plus qu’un magasin : nous participons à la programmation pour des festivals, nous conseillons des auteurs et des éditeurs, nous organisons des événements, mettons en relation des structures, accompagnons avec nos films des colloques ou des concerts… et, c’est devenu notre « spécialité », nous cherchons les films dits introuvables, au meilleur prix possible. C’est que nous sommes restés des passionnés : nous pouvons suivre une enchère au milieu de la nuit pour une VHS qui sera vendue 15 euros. Pour le plaisir de voir le sourire du client.
Quelles sont les personnes qui sont à l'origine de cette boutique et qu'est-ce qui vous a motivé à devenir un des acteurs du milieu indépendant ?
Stéphanie Heuze est la fondatrice de Hors-Circuits, avec l’aide d’une autre personne qui, depuis, est partie, car elle n’avait pas l’état d’esprit lié aux objectifs du magasin. Trois autres personnes s’y sont agglomérées depuis. Toutes proviennent d’univers où les mots créativité, indépendance, originalité, volonté sont fondamentaux . Et toutes d’accord sur le refus de se plier aux diktats d’une « culture » dominante qui véhicule des valeurs avec lesquelles on est en désaccord car ce qu’elles engendrent est négatif et destructeur pour l’épanouissement des personnes, objectif de base de tout développement culturel personnel. La culture est une arme, reste à déterminer quelle est sa cible. Pour nous, mérite le nom de culture celle qui aide à développer et valoriser la personnalité de chacun. Et il n’y a que les indépendants pour travailler dans ce sens.
Art/culture indépendante… Qu'est-ce que cela signifie exactement ? A partir de quel moment (et pourquoi) un produit de consommation est estampillé « underground » ?
L’underground, c’est une étiquette qui comme toutes les étiquettes vise plus à ghettoïser qu’à comprendre. C’est la « culture » dominante qui, depuis les années 60, colle cette étiquette sur tout ce qui lui échappe. Dans les années 60, s’est développée une culture différente de celle du business, qui fut cataloguée de mille étiquettes (underground, contre-culture, etc.). Par peur de ce qu’elle représentait, de par ses implications politico-sociales, le pouvoir dominant l’a étiquettée « underground » au sens obscur, marginal, difficile d’accès, « intellectuel » (le GROS mot par excellence) et ainsi pousser le grand public à s’en désintéresser. On y accole aussi le terme péjoratif de « petit » -petits moyens, petite diffusion…- alors qu’on y trouve des réalisations qui vendent plus que des produits commerciaux, ou qui sont mieux soignées, mille fois plus « classieuses ». Alors, finalement, est « underground » ce qui n’est pas un « produit de consommation » mais un « produit de dégustation ». Ce que recouvre cette appellation, c’est toute une culture à déguster, qui vous procure non seulement du plaisir mais vous donne envie d’être vous-même acteur de cette créativité.
Comment voyez-vous la marchandisation et la récupération commerciale de la culture indépendante par des Amazon ou Fnac ? Si un produit est estampillé « indépendant », « contre-culture », n'est-ce pas contradictoire d'être vendu dans un supermarché de la culture mainstream ?
Le système dominant a deux méthodes par rapport à ce qui le gêne : ou il le marginalise par le bâton (répression, censure policière ou économique), la carotte (circonscrire cette culture dans des ghettos de tolérance où vous survivez en vase clos), ou il le récupère (soit bêtement en estampillant « indépendant » des actes culturels qui ne le sont pas et s’apparentent plus à de la mode, soit en dévoyant des créateurs qui -la chair est faible- se laissent tromper par les sirènes du star system). Ceci dit, cela n’interdit pas d’inverser le processus et de se servir d’eux. Nous refusons la marge, nous refusons le misérabilisme des pseudos élites qui considèrent la culture comme réservée à un petit nombre. Si un temple de la consommation veut diffuser une œuvre de qualité, pourquoi la lui refuser ? Tant mieux si sur Amazon ou à la FNAC, parmi des milliers de sous-produits, il y a de vraies œuvres. Ce n’est pas sûr qu’elles sortiront du lot -noyées dans un tel océan de nullité- mais en tout cas elles ont plus de chance de rencontrer un large public que confinées dans une cave humide réservée à trois otakus.
Quelle peut être la singularité des boutiques indépendantes ?
D’abord, la richesse des cultures proposées. Ensuite, leur diversité. Aujourd’hui, il faut casser les ghettos. A l’heure où on essaie de diviser la société en communautés fermées -à l’américaine, chacun non seulement chez soi mais aussi contre tous les autres-, il faut réaffirmer l’unicité du collectif, et cela commence par la culture. Une boutique indépendante doit montrer la globalité des actes culturels et les liens les unissant. Cinéma, musique, littérature, il y a plein de passerelles qui les lient et font leur richesse. Si un réalisateur produit un film, c’est aussi parce qu’il a lu des livres et écouté des disques. C’est le produit d’un univers d’enrichissement culturel global. Donc un magasin indépendant, selon nous, doit présenter cet ensemble culturel sous tous ses supports : disques, livres, fanzines, DVD, CD... Un indépendant valorise les œuvres, c’est un « passeur » : il transmet sa passion et, s’il en fait commerce, il ne parle pas « produit ». Pour nous, cela passe aussi par une information auprès du public: nous expliquons comment l’économie de la culture fonctionne, le coût de fabrication réel d’un DVD, le droit d’auteur, la TVA, notre marge… nous sommes transparents sur notre fonctionnement et la répartition de l’argent (par exemple, nous reversons 50% du revenu de la location aux réalisateurs/éditeurs, pour soutenir leur travail).
Quelles sont les principales difficultés que l'on rencontre lorsque l'on tient une boutique de produits indépendants ?
C’est d’être dans un système globalement hostile et disposant de moyens disproportionnés pour étouffer l’expression et la diffusion des indépendants. Il s’agit alors de mener une guérilla culturelle, c’est-à-dire d’utiliser des techniques de souplesse, de réactivité, d’activisme, qui en appellent à l’association avec d’autres structures similaires, à l’imagination et au principe du « Faites-le vous-même ». Comme disait Godard, si vous n’avez qu’un dollar, alors faites un film qui ne coûte qu’un dollar.
Au quotidien, cela s’exprime par le refus des « gros » à nous ouvrir un compte et si grâce à diverses pressions vous réussissez à l’obtenir, on vous propose une marge misérable. C’est le cas de Gaumont, Arte, Carlotta, chez qui nous n’avons que 15% de remise, c'est-à-dire qu’ils nous vendent les DVD au prix vert pour nous forcer à être plus cher et nous discréditer ensuite. Mais comme on est plus malins, soit on opte pour les combines, soit on refuse de vendre leurs films, en expliquant à nos clients pourquoi, en les dénonçant.
Du côté de la mentalité du public, il reste aussi encore du boulot, beaucoup de gens pensent qu’on est plus chers que les FNAC par exemple, alors qu’il n’y a pas plus cher. Il faut donc faire un travail pédagogique, comme on le disait plus haut, pour faire comprendre la chaîne économique des gros et des indépendants. Forcément, quand Warner inonde la planète avec un film des années 50 ou un blockbuster, les droits sont déjà totalement amortis, il peut donc être vendu à 9,99 et tout le bénef va dans leur poche. Mais quand vous éditez un auteur contemporain, actif, que vous faites un bon travail de mastering, ça coûte plus cher et l’argent retourne dans les poches de l’auteur qui peut ainsi à nouveau faire des films.
Existe-t-il d'autres librairies qui exercent dans la même branche en France et quelles sont les relations que vous entretenez entre vous ? Essayez-vous de travailler ensemble ou vous livrez-vous une concurrence sans merci ?
Oui, il existe d’autres lieux, heureusement ! Car plus le système appauvrira son offre culturelle, plus la demande de qualité se fera sentir et plus la nécessité de tels lieux s’impose. Hors-circuits ne comprend pas le terme de « concurrence », cette notion est une invention capitaliste ayant pour objectif la division et la domination. Elle n’a rien à avoir avec la notion d’œuvre : on ne dira jamais qu’un film est concurrentiel d’un autre ; or nous nous sommes des relais de ces œuvres. Tous les indépendants qui s’y sont laissés piéger ont disparu. On en a eu un grand exemple dans les années 85/88 lorsqu’une série de labels de disques dits indépendants ou alternatifs ont préféré le chacun pour soi à l’unité des forces. Ils se sont tous cassés la gueule et n’ont survécu que ceux qui avaient un réel état d’esprit indépendant. Voilà ce qui guette le milieu des indépendants dans le cinéma s’ils n’en tirent pas la leçon. Et les multinationales du disques en pâtissent aussi avec leurs stratégies suicidaires : c’est l’effondrement du marché du CD audio aujourd’hui qui préfigure celui du DVD. On ne peut pas inonder ad aeternam le marché de produits insipides et croire que cela fonctionnera toujours. Les indépendants, en travaillant ensemble, surnageront s’ils font vivre tous les principes énoncés ci-dessus.
Dans votre sélection, on trouve une compilation de films d'animation créés par Youri Norstein. Pouvez-vous rapidement nous présenter cet auteur ?
Youri Norstein est un animateur russe dont l'oeuvre recèle d'une rare poésie. Ses fables, mélancoliques, nous parlent de la condition humaine à travers des personnages animaux: "Tout sourd lentement du brouillard de nos consciences, et la peur de l'errance et du néant du petit hérisson perdu dans la brume, est celle de tous les hommes errants. Les oiseaux de malheurs qui rasent nos têtes sont les tyrannies tapies partout." C'est après la lecture des écrits d'Eisenstein qui décide de consacrer sa vie à cet art. Ses films, d'une grande virtuosité sont notamment remarquables par les mouvements de caméra: chaque film lui prend des années, de sorte qu'il n'a réalisé aujourd'hui à peine deux heures de films et pourtant, il est déjà considéré comme le plus grand animateur russe!
Vous avez également sélectionné Death Note de Shusuke Kaneko. Que pensez-vous de Kira ?
Pour ceux qui ne connaissent pas Death Note, Kira est le premier « humain » à recevoir des mains du Dieu de la Mort le fameux cahier dans lequel tout nom inscrit entraîne immédiatement la mort par crise cardiaque de son titulaire. On peut comprendre l’envie de Kira qui, au début, scandalisé par les injustices de la société, décide de punir ainsi tous les criminels qui ne paient pas pour leurs crimes. Chacun de nous a eu cette pensée face à divers faits scandaleux où, par exemple, des gars qui ont violé une fille à dix prennent à peine quelques mois de prison alors que la victime va subir, elle, les conséquences de ce crime toute sa vie, ou devant l’impunité de dictateurs, de tueurs, bref comment la « justice » est clémente par rapport à des criminels souvent puissants et « protégés » alors qu’un pauvre se prendra le maximum pour des actes largement moins graves. Chaque société a la justice-miroir de ses propres valeurs. A société inégalitaire, justice injuste. Comme dit le dicton populaire : qui vole un œuf va en prison, qui vole un bœuf va au Palais-Bourbon. Ceci posé, la question de la justice, la vraie, ne peut pas reposer sur l’avis d’un seul qui, comme dans le manga, se grise très vite de cette puissance et comme tout individu qui concentre trop de pouvoirs entre ses mains, finit par devenir criminel à son tour. Donc nous ne sommes pas pour Kira, même si on comprend son raisonnement au début. C’est précisément l’intérêt selon nous de ce film : il pose une question politique et morale. C’est un film qui nous parle du fascisme, comment il peut s’installer insidieusement, en distillant des doutes et à partir de considérations réelles et de pensées qui nous traversent tous, ce sentiment d’inégalité. Il pose également la question de l’auto-justice, comme Peckinpah avec les Chiens de paille.
Vous avez organisé il y a quelques mois une rencontre avec Jean Rollin… Que pensez-vous du mépris quelque peu puéril dont il est victime (Mince, la réponse est dans la question ;-)
Ce mépris est plus que puéril, il est pseudo intellectuelisant. Il y a en effet toute une « critique » qui se croit tellement supérieure, imbue de sa pseudo « culture », qu’elle se permet de classifier les réalisateurs, de définir des sous-genres, des bis, des Z, l’alphabet manque de lettres pour elle ! Elle nie l’existence d’un véritable cinéma de divertissement intelligent qui lie le rêve, la poésie et la réflexion : ils confondent trop souvent puéril et enfantin. L’univers des enfants devrait garder une place prépondérante dans la réflexion des adultes, ça leur éviterait bien des déprimes. Quant à la puérilité, c’est cette critique qui en est la meilleure représentante, elle qui se gaussera du plus mauvais effet spécial au lieu de souligner la beauté poétique d’une image naturelle. Jean Rollin est un post-surréaliste, sans concessions, avec une grande culture cinématographique et littéraire. Il a fait un choix esthétique : chacun est libre d’y être sensible ou non. Nous, nous lui reconnaissons entre autres un travail exceptionnel de la lumière. Jean Rollin a réinventé le film de vampires : en s’attachant à la femme vampire, il décline un univers original et singulier.
Quel est le meilleur fanzine/webzine du monde ?
Démagogiquement, nous dirions que le meilleur webzine est le vôtre et le meilleur fanzine le nôtre. Mdr comme disent les djeunes. Plus sérieusement, je dirais que le meilleur fanzine et le meilleur webzine sont ceux qui se créent chaque seconde. Que cent fleurs s’épanouissent et le monde n’en sera que meilleur. |
propos recueillis par André Quintaine le 13/10/2007 |
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La sélection de Hors-Circuits
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Tetsuro Araki - 2006 |
Desu noto |
Anime |
Sortie le 09/04/2008 |
Editeur: Kana |
Europe-France |

Dans l'au-delà, Ryûk, un dieu de la mort abandonne par jeu, sur Terre, son Death Note, le cahier qu'il utilise pour mettre fin à la vie des humains. Light, jeune lycéen surdoué, le récupère et découvre ses terribles pouvoirs : quiconque voit son nom écrit dans le Death Note meurt instantanément. Le destin est en marche... Avec ce Death Note, Light va entamer un procéssus d'éradication du Mal et exécuter les criminels du pays. Débute alors un jeu macabre entre Light et L, un mystérieux enquêteur de génie engagé par les autorités... Light perdra de vue son noble but... ou sa vie ? |
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Langues: Français, Japonais |
Sous-titres: Français, Néerlandais |
Délai livraison: 1/2 semaines |
Prix: 40 € |
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DVD PAL Zone 2
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Tetsuro Araki - 2006 |
Desu noto |
Anime |
Sortie le 09/04/2008 |
Editeur: Kana |
Europe-France |

Le Cahier de la Mort. Il suffit d'y apposer le nom de la personne à châtier et d'avoir en tête son visage pour que cette dernière meure d'une crise cardiaque. Quand ce cahier tombe entre les mains de Light, brillant lycéen au tempérament assez taciturne, il décide d'exploiter le Death Note pour appliquer sa propre justice et devenir l'égal de la mort.
Ainsi, Ligth note soigneusement les noms des meurtriers les plus recherchés par la police, restés impunis jusqu'à présent. Cette vague de morts mystérieuses alerte Interpol, qui, dépassé par la situation, confie l'affaire à Lind L. Tailor, plus communément appelé L. Personne ne connaît son véritable nom, ni son visage, mais il résout n'importe quelle affaire, même celles où la mort est impliquée.
Une traque infernale s'engage alors entre les deux hommes, sous le regard amusé de Ryûk, le Dieu de la mort à l'origine de ce carnage. |
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Langues: Français, Japonais |
Sous-titres: Français, Néerlandais |
Délai livraison: 1/2 semaines |
Prix: 60 € |
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DVD PAL Zone 2
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Shusuke Kaneko - 2006 |
Desu noto |
Horreur Asiatique |
Sortie le 04/01/2008 |
Editeur: Kaze |
Europe-France |

Le Cahier de la Mort. Il suffit d'y apposer le nom de la personne à châtier et d'avoir en tête son visage pour que cette dernière meure d'une crise cardiaque. Quand ce cahier tombe entre les mains de Light, brillant lycéen au tempérament assez taciturne, il décide d'exploiter le Death Note pour appliquer sa propre justice et devenir l'égal de la mort.
Ainsi, Ligth note soigneusement les noms des meurtriers les plus recherchés par la police, restés impunis jusqu'à présent. Cette vague de morts mystérieuses alerte Interpol, qui, dépassé par la situation, confie l'affaire à Lind L. Tailor, plus communément appelé L. Personne ne connaît son véritable nom, ni son visage, mais il résout n'importe quelle affaire, même celles où la mort est impliquée.
Une traque infernale s'engage alors entre les deux hommes, sous le regard amusé de Ryûk, le Dieu de la mort à l'origine de ce carnage. |
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Langues: Français, Japonais |
Sous-titres: Français |
Délai livraison: 1/2 semaines |
Prix: 26 € |
Critique
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DVD PAL Zone 2
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Shusuke Kaneko - 2006 |
Desu noto |
Horreur Asiatique |
Sortie le 04/01/2008 |
Editeur: Kaze |
Europe-France |

Le Cahier de la Mort. Il suffit d'y apposer le nom de la personne à châtier et d'avoir en tête son visage pour que cette dernière meure d'une crise cardiaque. Quand ce cahier tombe entre les mains de Light, brillant lycéen au tempérament assez taciturne, il décide d'exploiter le Death Note pour appliquer sa propre justice et devenir l'égal de la mort.
Ainsi, Ligth note soigneusement les noms des meurtriers les plus recherchés par la police, restés impunis jusqu'à présent. Cette vague de morts mystérieuses alerte Interpol, qui, dépassé par la situation, confie l'affaire à Lind L. Tailor, plus communément appelé L. Personne ne connaît son véritable nom, ni son visage, mais il résout n'importe quelle affaire, même celles où la mort est impliquée.
Une traque infernale s'engage alors entre les deux hommes, sous le regard amusé de Ryûk, le Dieu de la mort à l'origine de ce carnage. |
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Langues: Français, Japonais |
Sous-titres: Français |
Délai livraison: 1/2 semaines |
Prix: 36 € |
Critique
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DVD PAL Zone 2
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Shusuke Kaneko - 2006 |
Horreur Asiatique |
Sortie le 09/01/2008 |

Le Cahier de la Mort. Il suffit d'y apposer le nom de la personne à châtier et d'avoir en tête son visage pour que cette dernière meure d'une crise cardiaque. Quand ce cahier tombe entre les mains de Light, brillant lycéen au tempérament assez taciturne, il décide d'exploiter le Death Note pour appliquer sa propre justice et devenir l'égal de la mort.
Ainsi, Ligth note soigneusement les noms des meurtriers les plus recherchés par la police, restés impunis jusqu'à présent. Cette vague de morts mystérieuses alerte Interpol, qui, dépassé par la situation, confie l'affaire à Lind L. Tailor, plus communément appelé L. Personne ne connaît son véritable nom, ni son visage, mais il résout n'importe quelle affaire, même celles où la mort est impliquée.
Une traque infernale s'engage alors entre les deux hommes, sous le regard amusé de Ryûk, le Dieu de la mort à l'origine de ce carnage. |
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Critique
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CINE
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DVD NTSC Zone 1
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Fernando Arrabal - 1973 |
Horreur Anglo-saxon |
Sortie le 16/05/2005 |
Editeur: Cult Epics |
USA |

Arrabal's second film; I WILL WALK LIKE A CRAZY HORSE (J'irai Comme un Cheval Fou) forsakes the political allegory present in Viva La Muerte for a dramatic discovery of faith and organized religion. The story follows a man, Aden, played by the American George Shannon, who flees society after the death of his controlling mother. Out in the wilderness he encounters the beauty of nature, and under the tutelage of a hermit named Marvel, becomes a 'normal homme.' Aden falls desperately in love with Marvel, who can communicate with animals, the clouds, and the sun. Upon returning to civilization, Marvel in tow, Aden is more aware than ever of the hideous and hypocritical nature of human society. I WILL WALK LIKE A CRAZY HORSE has long been considered a masterpiece of surrealist film and stands as Arrabal's most delirious and devlish picture, an outrageous portrait of both other-worldly beauty and inner torment. |
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Langues: Français |
Sous-titres: Anglais |
Délai livraison: 1/2 semaines |
Prix: 34.97 € |
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DVD NTSC Zone 1
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Les visuels des jaquettes de DVD ne sont pas contractuels. |
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